ATHENES LA MYTHIQUE

Athènes,

  Ville mythique réunissant un nombre impressionnant de monuments, vestiges et autres manifestations de l'histoire antique ou plus moderne.

  Tu as choisi de partir à la découverte de ce site mondialement connu et notre équipe d'animateurs/animatrices sera là pour te faire passer un inoubliable séjour.

  En une semaine (du 27/10/2009 au 02/11/2009) tu auras l'occasion de parcourir Athènes en métro et à pieds puisque cette capitale a des dimensions humaines favorisant les promenades pédestres.
  L'Acropole, le Parthénon, la place Syntagma, l'île d'Egine, les Jardins du Parlement sont autant d'étapes incontournables durant notre périple !

  En voici quelques aperçus, histoire (antique !) de se mettre dans le bain (dans la mer Egée !).
  Et en plus, la musique de Zorba le grec, en cliquant ci-dessous !


Athènes : Le Parthénon

Voilà un site qui vous plongera immédiatement dans la Grèce antique, un voyage dans le temps, un bond de plusieurs siècles en arrière pour vous retrouver au cœur de ce temple mythique à côtoyer des divinités (Athéna, Zeus…). Situé sur l’Acropole d’Athènes, le Parthénon surplombe la ville comme un gardien protecteur.

Le Parthénon d’Athènes

C’est certainement l’un des monuments les plus connus, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, ce vestige archéologique chargé d’Histoire attire les touristes et les visiteurs.

C’est tout a fait légitime, lorsque l’on considère que c’est un vestige de la première démocratie qui soit (une sorte de berceau de la civilisation…).

Ils sont nombreux au rendez-vous, alors un petit conseil, levez-vous de bonne heure si vous voulez apprécier à sa juste valeur le site.

Vue générale de l'Acropole, le Parthénon

Un temple de la Grèce antique

le Parthénon

La construction de ce temple consacré à d’Athéna débuta en 447 avant J.C pour se poursuivre durant une dizaine d’années.

Sous la direction du sculpteur Phidias, les architectes Ictinos et Callicratès ainsi que de nombreux autres artistes ont œuvré à l’édification de ce monument.

C’est à Phidias que l’on doit la majorité des décorations et surtout la célèbre statue en or et ivoire d’Athéna qui trônait auparavant au centre du temple sur une hauteur de 12 mètres.

L’histoire du Parthénon est un parcours semé d’embûches. Au fil du temps, il a subit plusieurs perturbations, même si durant plusieurs siècles il est resté quasi intact.

Envahi par les romains, transformé en église par les chrétiens et en mosquée par les ottomans, détruit en partie lors d’une attaque des vénitiens…pour être finalement dépouillé par Lord Elgin (les frises et les sculptures sont aujourd’hui exposées au British Museum de Londres).

Un site archéologique unique

Mais pas d’inquiétude, à l’évidence, vous serez tout de même impressionnés par le génie architectural du Parthénon et par tant de précisions.

Que ce soit sur les frises ou sur les colonnes, ce temple représente l’ordre dorique par excellence. On peut également observer à plusieurs reprises l’utilisation du nombre d’or dans l’architecture du Parthénon.
Légèrement bombées pour rendre la construction plus élancée, les colonnes ont été légèrement inclinées vers l'intérieur de l'édifice. Les colonnes d'angles ont un diamètre supérieur aux autres pour éviter qu'elles ne paraissent plus petites.
L’acropole d’
Athènes abrite également l’Érechthéion, le théâtre de Dionysos, les Propylées…ainsi que le nouveau musée de l’Acropole.

le Parthénon, les colonnes

Le jardin national avec le parlement et le Zappeion


Le parlement :

A la sortie du métro Syntagma, en plein cœur d’Athènes, se trouve la place de la Constitution, dominée à l’est par le Parlement (qui autrefois était le palais royal édifié par Otton Ier de Bavière). Imposant et parfaitement entretenu, il vaut le coup d’œil ! La chambre principale est un amphithéâtre dont la plupart des murs sont en marbre et décorés de feuilles d’or ! De plus, le bâtiment a deux entrées, dont l’une va directement vers la tombe du soldat inconnu tandis que l’autre est l’entrée officielle, où l’on rentre ordinairement. Surtout, essayez de venir vous y balader aux alentours de 11 heures du matin le dimanche afin d’assister à la relève des gardes car c’est impressionnant (et drôle !).

Le jardin national :

En poursuivant son chemin sur la droite, on entre dans le jardin national, espace vert de plusieurs hectares en plein cœur d’Athènes. Ouvert du matin jusqu’au soir, le jardin national est un véritable oasis de verdure de plus de 16 hectares et cela, au cœur même de la ville ! Il a été aménagé en 1840 pour la reine Amélie et comporte quatre entrées (dont la dernière rejoint le parc Zappion). S’y balader aujourd’hui est un vrai plaisir, surtout après avoir marché jusqu’en haut de l’Acropole ou avoir flâné dans le quartier touristique de Plaka, généralement bruyant et bondé de monde ! Ici, on est au calme et à l’abri de la chaleur grâce à la végétation touffue du jardin ainsi qu’aux palmiers, pins, orangers et cyprès qui bordent les allées. C’est pour cela que les athéniens aiment s’y promener. Vous croiserez notamment beaucoup de mères avec leurs enfants et leurs landaus.
Plus de 500 espèces d’arbres et de plantes venant du monde entier sont recensés dans ce jardin. Un musée botanique a également été aménagé tout comme un zoo d’animaux locaux.

Le Zappeion :

En continuant de marcher vers le sud du parc, on tombe sur le Zappio, lieu très fréquenté par les athéniens en fin de soirée, et où se dresse au centre de ce dernier le palais du Zappeion. Construit à la fin du XIXème siècle, cet édifice est aujourd’hui utilisé pour des expositions et des évènements commerciaux mais il a eut d’autres usages dans le passé, par exemple celui de centre international de conférences. C’est notamment ici qu’a été signé l’adhésion de la Grèce à la communauté européenne ! Des sculptures grecques y sont de nos jours exposées. A la sortie du Zappeion, on trouve un café et un restaurant, très appréciés pour une petite pause gourmande !

 

La relève de la garde au parlement d'Athènes

C’est devant le Parlement, place Syntagma, que l’on trouve les membres de la garde présidentielle, une unité cérémonielle qui garde le bâtiment et la maison présidentielle. Néanmoins, alors qu’autrefois, ces gardes servaient réellement à défendre le Parlement et ses députés en cas d’attaque, aujourd’hui, ils n’ont plus qu’un rôle décoratif, voire touristique.
Les gardes sont nommés evzones (ce qui signifie « à la belle ceinture » en grec). Ce nom désignait à la base les régiments et les bataillons d’élite de l’infanterie légère de l’armée grecque.

 

Les uniformes des gardes sont inspirés des costumes traditionnels grecs : béret de feutre rouge au gland de soie noire, chemise blanche avec des manches très évasées, gilet dont les broderies sont faites à la main et qui reproduisent des motifs traditionnels, jupe appelée fustanelle qui comporte 400 plis afin de symboliser le nombre d’années d’occupation ottomane, hauts de chausse, pantalon rouge pour les officiers et collants en laine blanche pour les soldats, ceinturon à cartouchière et fixe-chaussettes noirs (bleus pour les officiers).

Ce type d’uniforme, bien que datant de l’époque d’Homère, n’a trouvé sa forme actuelle que sous l’occupation ottomane. Toutefois, c’est en 1821, lors de la Révolution grecque, qu’il a été adopté comme tenue nationale officielle. Ces costumes coûtent très chers à fabriquer et demande beaucoup de savoir-faire de la part des fabricants. Par ailleurs, il existe deux versions de l’uniforme (en plus de la différence de costume entre l’officier et le soldat) : une pour l’été et une pour l’hiver.

 

De nos jours, la garde présidentielle exerce plusieurs fonctions : elle garde le tombeau du Soldat Inconnu ainsi que le palais présidentiel, elle hisse et amène officiellement les couleurs grecques du Rocher sacré de l’Acropole, elle qui assure la garde d’honneur au président de la République et aux chefs d’Etats étrangers. Enfin, elle rend honneur aux ambassadeurs étrangers lors de la remise de leurs lettres de créance au Président de la République.

En Grèce, la garde est relevée toutes les heures, lors d’un « ballet » assez étonnant, une sorte de chorégraphie très particulière à la façon automate. Si vous désirez assister à ce spectacle, mieux vaut aller admirer la relève du dimanche à onze heures car ce jour-là, les gardes sont plus nombreux et les uniformes beaucoup plus beaux car mieux décorés.

 

Le musée archéologique national: sculptures et collections de bijoux, vases, céramiques

Le musée archéologique national se situe un peu à l’écart du centre ville, dans un immense bâtiment d’architecture néoclassique construit au XIXème siècle. Consacré à l’art antique, de l’époque néolithique à l’époque romaine, il abrite une collection unique et récemment fournie d’art ancien grec, rassemblant ainsi les principales œuvres d’art venant des grands sites archéologiques du pays (à l’exception de ceux de Delphes, d’Olympie et de la Crète), ce qui fait qu’on le compte aujourd’hui parmi les dix principaux musées archéologiques du monde.

 

La première salle, sur la gauche du musée, présente l’art grec archaïque. Tout a commencé au VIIème siècle avant JC, période qui fut d’une importance capitale pour la renaissance grecque. En effet, les transformations politiques et sociales des siècles précédents furent un terrain propice à l’engagement des artistes dans de nouvelles voies créatives. La croissance des « Etats-cités » fut également le prétexte d’une ambition personnelle grandissante et de l’expression de celle-ci. Pour la première fois, les artistes signèrent leurs sculptures ou leurs peintures sur vase de leur nom ! Ensuite, au VIème siècle avant JC, la liberté qui accompagnait le mode de vie grec à l’époque entraîna de grandes répercussions sur la création artistique contemporaine. Nomades et curieux, les artistes prirent la route et s’inspirèrent de leurs voyages pour leurs futures créations. Ce fut aussi l’époque de la construction de nombreux grands monuments publics.

 

Les salles suivantes rassemblent successivement bijoux, masques, bronzes, sculptures en pierre, poteries, vases et céramiques dont on ne se lasse pas. Un détail intéressant : l’une des dernières salles expose la reconstruction d’un harnais avec son mors de l’époque. Peut-être la bouche des chevaux était-elle moins sensible à l’époque qu’aujourd’hui. Toutefois, cela fait mal à voir !!!
A ne pas manquer non plus : les statues de
Zeus et de Poséidon ainsi que celle d’Aphrodite courtisée par un Pan plutôt insistant (magnifique), les collections de vases, de fresques et des figurines grecs antiques mais aussi les salles de bijoux antiques. Ces derniers, en feuille d’or, font pâlir de jalousie !
En revanche, pas de panique, même si retrouver son chemin tient du miracle dans ce dédale de salles, la sortie existe bel et bien!

 

Le site archéologique et le musée de Kerameikos

Le site archéologique :

On longe une grande allée bordée de vieux murs, on flâne au gré du vent, on admire la silhouette du Parthénon qui se découpe dans le lointain et soudain, on se retrouve face à une petite porte qui ne paie pas de mine et qui pourtant nous conduit à l’un des plus beaux sites de la ville : le site archéologique de Kerameikos.
Le site a été nommé Kerameikos en hommage à Céramos (éponyme de céramique) qui, selon la tradition antique, était le fils de Dionysos et d’Ariadne. Au
dieu du vin a donc été rattaché la personnification de la poterie en terre (keramos) où l’on conservait cette liqueur. Le site a été utilisé continuellement à partir du XIIème siècle avant JC comme cimetière et cela, pendant plus d’un millénaire!

 

Kerameikos est, après l’Acropole, la place d’Athènes où l’on a retrouvé le plus de sculptures de la période archaïque. Bon nombre d’entre elles étaient bien évidemment cassées ou très endommagées. Surtout, dans les décennies suivant la période archaïque, les citoyens utilisèrent quelque unes des statues comme matériel pour fabriquer les murs voisins ou comme ornement des tombes archaïques (à cette époque, les tombeaux ornaient le long des routes, d’où l’importance de les valoriser. Le nom du mort était écrit sur la pierre avec une épitaphe). Toutefois, les fouilles ont permis de retrouver et restaurer de nombreuses sculptures, entreposées aujourd’hui au musée de Kerameikos ou au musée archéologique national pour les plus précieuses d’entre elles.
Se balader dans le site est un plaisir des sens. Partout, la végétation reluie au milieu de vestiges d’anciennes pierres. On peut donc profiter d’une pause sur l’un des bancs pour admirer la vue à loisir ou se reposer en écoutant les oiseaux chanter !

Le musée :

Le musée a été construit en 1937, suite à une donation de Gustav Oberlaender puis il a été élargi en 1960. Situé sur la gauche du site archéologique, le musée, bien que petit, offre une collection de sculptures très bien conservée, datant de la période entre le XIIème siècle avant JC et la période romaine. Beaucoup ont été trouvées en 2002, lors d’investigations stratigraphiques. Ici, on peut retrouver tous les styles de sculptures qui ont fleuri à l’époque classique, vases et accessoires en poterie tout comme des monuments funéraires ou des outils de l’ancienne société athénienne. Certaines d’entre elles portent encore quelques couleurs, du rouge et du bleu/vert surtout.

 


Le temple de Zeus à Athènes

L'Olympion, ou temple de Zeus, tout en bas de l'Acropole, attire nettement moins de touristes. Et pourtant, ils ne savent pas ce qu'ils perdent! Certes il ne reste plus que 15 colonnes, mais quelles colonnes!

le temple de Zeus, vue générale
le temple de Zeus, les colonnes

Le bâtiment, achevé en 131 avant J.-C., était un temple colossal dédié à Zeus. C'est maintenant un lieu archéologique enchanteur avec son petit jardin bien entretenu. Du temple on aperçoit le site de l'Acropole et ses centaines de touristes tandis que vous avez l'impression d'être seul au monde aux pieds de ces colonnes gigantesques.

Sur le même site, à côté du temple, on peut admirer des fouilles archéologiques à l'ombre d'un palmier et au son d'une petite fontaine, bien agréable pour se rafraîchir. Un petit coin de verdure vraiment propre, soigné et entretenu.

SITUATION

L'Olympion se situe en bas de l'Acropole, à Amalias, à côté de la porte d'Hadrien (IIè siècle) qui séparait la ville romaine de la villegrecque.
Le site est ouvert de 8h30 à 15h00, sauf le lundi. L'entrée est payante sauf pour les étudiants de la communauté européenne (vive la culture).
C'est un site protégé, mais ça n'a pas toujours été le cas : le temple de Zeus servait de carrière au moyen-âge...

le temple de Zeus, vue d'ensemble


Le théâtre d’Hérode Atticus :

 

Le théâtre d’Hérode Atticus, aussi appelé odéon d’Hérode Atticus, a été construit en 161 après JC au pied de l’Acropole, sur sa pente sud, par Hérode Atticus lui-même (il était issu d’une riche famille et a consacré une grande partie de sa fortune à la construction de bâtiments), en mémoire de sa femme morte peu de temps auparavant. Dès le début, la fonction principale de ce théâtre fut d’être le lieu de représentations de pièces de théâtre et d’œuvres musicales. Le théâtre pouvait accueillir jusqu’à 5000 personnes, ce qui était peu finalement à l’époque comparé à la population d’Athènes qui se chiffrait à 290 000 habitants environ. Cependant ses excellentes capacités acoustiques faisaient de lui un lieu de représentations exceptionnel. Par ailleurs, la scène, en marbre blanc, était très large (35 mètres de diamètre) donc visible par chacun.

 

Malheureusement, le théâtre est tombé en ruines après la mort d’Hérode, car plus personne ne s’en est occupé. Seul le grand mur de pierres qui supportait la partie arrière des gradins est resté intact. Par la suite, la scène et l’amphithéâtre ont été rénovés (en marbre afin de reconstruire à l’identique).
De nos jours, le théâtre d’Hérode Atticus est utilisé pour différents spectacles : opéras, danses, pièces de théâtre, tragédies… Il est surtout le lieu principal du
festival d’Athènes qui se déroule chaque année entre mai et septembre. C’est en grande partie grâce à ce festival que le théâtre a acquis une renommée mondiale.



Le théâtre de Dionysos :

C’est le plus important des théâtres de la Grèce antique ! Situé au sud de l’Acropole, il est considéré comme le berceau de la tragédie (et du théâtre en général). Il a été nommé « théâtre de Dionysos » car c’était là que chaque année on fêtait le Dieu, par des chants, des danses, des pièces de théâtre et des sacrifices.
C’est également ici que furent jouées par la suite les grandes tragédies d’Eschyle, de Sophocle et d’Euripide.


Construit au Vème siècle avant JC, le théâtre ne comportait au début qu’une « orchestra » en terre battue (là où l’on trouve le chœur, les danseurs et les musiciens) et une scène en bois. Les spectateurs (le théâtre pouvait accueillir jusqu’à 17 000 personnes) s’asseyaient donc à même le sol, sur la pente naturelle du lieu. Les gradins en bois furent construit bien plus tard, remplacés ensuite par de la pierre. La scène et l’orchestra furent également reconstruits, en marbre cette fois.




Le Stade panathénaïque d'Athènes

La capitale grecque porte encore, outre le site de l'Acropole, de nombreuses marques visibles de l'époque antique : le stade, connu sous le nom de « stade panathénaïque », est à cet égard un des endroits à visiter.

Entouré d'une pinède fine, encastré entre deux collines, il est aujourd'hui situé en pleine ville, près des quartiers de Pangrati et Mets. Il n'est qu'un des stades parmi ceux qu'Athènes comptait à l'époque. Ce fût un stade grec, qui fut ensuite réutilisé par les romains.

Arrivée au stade panathénaïque
Gradins du stade panathénaïque

Il est désormais célèbre pour avoir été rénové en prévision des jeux olympiques d'Athènes en 1896, à savoir ceux qui ont ouvert les jeux olympiques modernes. L'enceinte avait été refaite entièrement de marbre. Il est resté depuis le symbole des jeux olympiques de l'ère moderne : en 2004 s'y sont déroulées les épreuves de tir à l'arc et, bien évidemment, l'arrivée du marathon, à l'occasion des jeux olympiques d'Athènes qui marquèrent le retour aux origines de jeux olympiques. Le stade panathénaïque était le meilleur endroit à Athènes même pour matérialiser cette boucle de l'histoire.

La forme et l'emplacement du stade n'ont pas changé depuis l'antiquité. Les gradins forment un « U » inversé tout en longueur, ouvert d'un côté sur la ville. Il enserre une piste est longue et fine dont le virage est particulièrement fermé en comparaison aux stades modernes : elle fait environ 200m de distance. Le stade athénien pouvait accueillir jusqu'à 70 000 personnes : il en accueillit autant à la fin du XIXème siècle pour l'arrivée du marathon qu'un grec, Louis Spiridon, remporta.

La Grèce recèle de cet art de mélanger les époques et de le rendre quasiment palpable. Le stade panathénaïque offre déjà une vue à la fois sur la ville, une pinède, des montagnes en fond d'écran, le tout au centre une construction antique. Il offre également une vue sur l'Acropole qui domine la ville.

Vue depuis le haut des gradins sur le stade et sur Athènes


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